Merci aux personnes extraordinaires qui ont accepté de partager ici leur témoignage inspirant pour promouvoir la santé cardiaque des femmes.
Entamons la conversation, car #ElleNousTientÀCoeur.
Ottawa (Ontario)
D’un blocage cardiaque total à un stimulateur cardiaque pour la vie. Marion parle de ses symptômes, de son diagnostic et de la vie avec son dispositif cardiaque. Lire le témoignage de Marion
Otterburn Park (Québec)
Un rendez-vous d’urgence en ophtalmologie ayant mené à un diagnostic d’angine microvasculaire, Charlotte explique à quel point il a été bénéfique pour elle de se joindre à un groupe de soutien tôt dans sa convalescence.
Milton (Ontario)
Donna raconte le parcours qui l’a menée de l’insuffisance cardiaque terminale à la transplantation cardiaque. Elle a depuis participé deux fois aux Jeux canadiens des greffés!
Richmond (Colombie-Britannique)
Après avoir confondu ses symptômes de crise cardiaque avec des brûlements d’estomac et subi une opération à cœur ouvert (pontage aortocoronarien) d’urgence, Hope sait à quel point il est important d’être à l’écoute de ses symptômes quand on sent quelque chose d’anormal.
Middle Lahave (Nouvelle-Écosse)
Nicole a 38 ans et deux enfants. Elle est atteinte de coronaropathie et a fait deux infarctus NSTEMI. Elle a vu de ses propres yeux les inégalités dans les soins et la prévention qui affectent la santé cardiaque des femmes. Depuis la fin de sa réadaptation cardiaque, elle essaie de vivre sainement et de promouvoir la santé cardiaque des femmes, surtout en région rurale.
Ottawa (Ontario)
Nadia a été frappée par une dissection spontanée de l’artère coronaire (DSAC) en 2016, après avoir donné naissance à son troisième enfant. Un jour, elle été prise d’une vive anxiété, d’un besoin de fuir, d’être seule, puis de vomissements violents, et elle s’est retrouvée par terre dans les toilettes d'un édifice public.
Vancouver (Colombie-Britannique)
En 2018, Najah a assisté à une conférence sur la DSAC où elle a écouté de nombreux témoignages de patientes et des présentations de spécialistes de la santé cardiaque des femmes. Elle est rentrée chez elle le cœur gros, avec l’impression qu’elle et les autres médecins laissaient délibérément tomber les femmes.
Ottawa (Ontario)
Je m’appelle Dima et j’ai 56 ans. Ma vie a changé le 3 mars 2021. Quand j’ai commencé à ressentir une douleur à la poitrine en plus de celle que je sentais à l'omoplate, je me suis présentée à l’urgence. On m’a dit que j’avais subi une crise cardiaque de type « NSTEMI ».
London (Ontario)
Je suis une personne très pro-santé qui croit fermement en l’importance de la médecine préventive.
Toutefois, étant d’ascendance sud-asiatique, je me suis rendu compte que ce ne sont pas des sujets très populaires dans ma communauté, où le diabète de type 2 et les maladies cardiovasculaires abondent.
Smiths Falls (Ontario)
Je m’appelle Darlene, j’ai 61 ans et j’ai survécu à deux opérations à cœur ouvert. Un jour en m’auscultant, mon gynécologue a entendu un léger son qui l’a inquiété, comme le cri d’une mouette. C’était en 1986, lors d’un suivi ordinaire après la naissance de mon fils. J’avais 25 ans. Ce son a changé ma vie.
Edmonton (Alberta)
J’avais un bébé et un enfant de deux ans, je n’avais pas le temps de m’apitoyer sur moi-même ou de chercher des stratégies pour mieux vivre tout ça. J’ai suivi les recommandations de mes médecins, je me suis présentée à tous mes rendez-vous, j’ai pris tous mes médicaments et je suis passée à autre chose. Ce n’est qu’à l’été que la colère a remonté à la surface.
Winnipeg (Manitoba)
Je vis le moment présent, j’apprécie les petites choses et, surtout, je suis présente avec ma famille.
Votre témoignage a du poids.
Soyez une source d’inspiration et d’espoir pour les autres. En vous lisant, d’autres femmes, soignants, familles et proches aidants de tout le Canada sauront qu’ils ne sont pas seuls.
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